Carte du jour ici Nous partons pour la forteresse de Chittorgarh, qui a été ruinée par les envahisseurs moghols en 1568, mais qui a de beaux restes.

Un éléphant ça trompe énormément !  Arrivée à Bundi en fin de journée. Nous faisons un tour à pied dans la ville à la nuit. Nous avons la confirmation qu’en matière de klaxon les Italiens sont largement dominés par les Indiens : les nuées de motos et de scooters, les Tuctuc et les voitures klaxonnent tous et tout le temps pour se frayer le passage au milieu de vaches imperturbables.

Ce matin nous attaquons le fort D’Amber à dos d’éléphant, enfin c’est plutôt l’éléphant qui nous transporte qui attaque la montée de cette forteresse située dans un cadre grandiose.    En effet 3 forts sont superposés dans la montagne. Le hall des audiences publiques où le maharadja recevait le public qui lui demandait audience.     Le hall des audiences privées avec les ministres.   La porte de Ganesh dieu hindouiste du bonheur ouvre sur les appartements privés.     S’y trouvent le jardin des femmes du harem,  les salons du maharadja aux murs et au plafond recouverts d’une foule de miroirs convexes et colorés où se reflétaient les lampes à huile.   De ses balcons vue imprenable sur le jardin du maharadja au milieu d’un lac.  En revenant vers Jaipur nous photographions le Jal Mahal palais désaffecté construit au milieu d’un lac artificiel.        ;Puis les cénotaphes des maharadjas défunts à Gaitor en marbre dont un de carrare avec des bas reliefs représentant des scènes de chasse superbes.           .  Nous passons l’après midi à flâner dans la vieille ville puis nous allons au cinéma pour voir une superproduction de Bollyvood en VO l’hindi : amusant.

Carte du jour ici Nous arrivons à Khajuraho à midi avec un nouveau chauffeur qui parle anglais et un peu espagnol. Les temples de cette ville sont sur la liste du Patrimoine mondial de l’Unesco. Construits au 10ème et 11ème siècle (il en reste 22 sur 85 à l’origine. Nous en avons visité 8. Ils sont couverts à l’extérieur de sculptures   Un ensemble de musiciens et de chanteuses.   Un carambolage d”éléphants suite au freinage du premier.   Certaines sont érotiques (seulement 5 %) mais ce sont les plus regardées et les plus photographiées. Elles voisinent avec celles des Dieux et Déesses de l’hindouisme.et se complètent dans le cadre du tantrisme.

L’éléphant voyeur sourit béatement à la vue des ébats amoureux du couple.

         Nous avons censuré quelques sculptures plus hard. En fin de journée nous passons un moment sympathique au marché des producteurs locaux.   La soirée à l’hôtel est animée par les festivités d’un mariage.  

Carte du jour ici Nous arrivons à Orchha à midi en train après avoir abandonné notre chauffeur à la gare d’Agra. C’est une petite ville de 10.000 habitants qui nous fait penser à Bagan en Birmanie. De nombreux édifices (palais, temples, … ) disséminés dans la ville, tous de la même couleur délavée marquée par les moisissures de la mousson et qui ont besoin d’être entretenus. Certains sont en ruines.Nous marchons dans le centre animé par le marché et par une fête des femmes dédiée à Krishna, entre autre elles vont laver leur linge à la rivière. Avec un guide nous visitons le palais de l’empereur Jahangir, où il a dormi une seule nuit (selon la légende), qui comporte tout de même 220 pièces ! Puis le palais du maharadja local (Raj Mahal) avec 230 pièces. Construit au 17ème siècle le Laksmi Narayan Temple est décoré de belles fresques intérieures. Nous terminons la journée par les Chatris royaux (cénotaphes des maharadjas) au coucher du soleil au bord de la rivière Betwa.         

Carte du jour ici Notre hôtel à Jaipur était au pied de la forteresse d’Amber que nous voyions depuis la fenêtre ainsi que les fortifications qui couronnaient la montagne.

Nous prenons la route de Ranthambore que nous atteignons à midi. L’après midi premier safari dans la réserve.

Du tigre nous ne voyions que les empreintes dans la poussière de la piste. Plus des oiseaux

Différentes antilopes

Beaucoup de singes une chouette

Une mangouste

et à la fin un léopard qui nous observait depuis le haut d’une falaise

en se léchant les babines mais ne nous a sans doute pas trouvés à son goût !            

Covoiturage indien : 6 sur la moto ! 

Carte du jour ici Départ tôt de l’hôtel à 6 h 30 car la journée va être chargée. A 11h30 nous sommes à Fathepur Sikri à 30 km d’Agra, le guide a un quart d’heure de retard. Le palais construit par l’empereur Akbar ne sera occupé que pendant 15 ans du fait des ressources en eau insuffisantes. Tous les bâtiments sont construits avec la même pierre de grès rouge-orangé donnant une grande unité à l’ensemble.  La salle des audiences privées rassemble des éléments de plusieurs religions avec en particulier le pilier central magnifiquement sculpté sur lequel siégeait l’empereur

.

Le travail de la pierre est partout d’une grande finesse. Sur certains panneaux il y avait des pierres semi précieuses incrustées qui ont disparues.  Nous sommes à Agra à 15 heures mais la aussi le guide fait des siennes, il nous fait passer pour rien à l’hôtel et est aussi en retard. Nous allons visiter le Fort Rouge au pas de charge, dommage car là le contraste entre les murailles de grés rouge et les bâtiments en marbre blanc incrusté de pierres précieuses et semi-précieuses est magnifique.

  Mais nous ne voulons à aucun prix rater l’entrée du TAJ MAHAL dont la billetterie ferme à 17 heures. Là le spectacle est à la hauteur de nos espérances, malgré le nombre très important de visiteurs.         Nous nous approchons du mausolée dédié à Mumtaz Mahal construit par son mari l’empereur Shah Jahan..        Jusqu’à entrer dans le sanctuaire et apercevoir le tombeau. Il est bien entendu en marbre avec les incrustations de pierres précieuses (rubis, jade, agate, corail,onyx, lapis-lazuli) constituant une marqueterie de pierre. Il en est de-même pour l’ensemble du mausolée avec de plus des panneaux sculptés entourés de bandeaux polychromes.    Nous restons jusqu’à la fermeture du site et nous assistons même au lever de la lune sur le Taj Mahal.

Carte du jour ici Varanasi est le nom officiel de la ville, Bénarès est le nom de la ville sainte pour les hindous. Nous y arrivons à 16 heures après un vol de 50 minutes. La circulation y est congestionnée et les klaxons sont rois à l’approche de la vieille ville. Voici notre première vue du Gange. Nous assistons à la Puja cérémonie au cours de la quelle s’élèvent les chants sacrés et a lieu l’offrande de la lumière au Gange (ganga aarti).  Puis retour à l’hôtel où a lieu un mariage !    

Lever matinal, nous quittons l’hôtel à 5 h 30 pour aller voir les ablutions dans le Gange. Pour cela nous prenons place dans une barque manoeuvrée par un rameur et nous longeons une bonne partie des ghats (quais en escalier devant chaque immeuble ou palais qui permettent d’arriver à l’eau). Au maximum de la mousson le niveau du Gange est plus élevé de 15 mètres.  Les élèves d’une école de bhramanes effectuent leur séance de yoga devant leur école En fait il y a plus de touristes dans les barques sur l’eau que d’hindous qui font leurs ablutions, le guide nous explique que l’élévation du niveau des connaissances et des revenus font baisser la ferveur hindouiste. Les crémations se font jour et nuit sur la rive.    Les marchands de bois sont à proximité.   Les laveurs de linge sont déjà au travail.   En bons touristes nous confions 2 bougies au Gange. Le thé dans la rue.  r Ramassage scolaire. Nous allons ensuite à Sarnath l’endroit ou Bouddha a fait son premier prêche à ses disciples au 6ème siècle avant JC. Un grand stupa y a été restauré sur un site où il y en avait plusieurs dizaines. Des Thailandais ont érigés il y a 10 ans une statue géante  de Bouddha à proximité.

L’après midi nous arpentons les ghats le long du Gange.   Couple de mariés qui vienne de sacrifier au rites du Gange, nous en avons vu plusieurs.   Nous rentrons en Ricksaww à l’hôtel distant de 6 km (pauvre pédaleur ! mais nous l’avons fait travailler).

Départ tôt le matin en train rapide shinkansen pour Nikko. Visite dans un cadre enchanteur du sanctuaire bouddhiste et shintoïste de Nikko, du fameux Tosho Gu, sanctuaire du Yetsu Tanakawa, du temple Rinnoji, de la pagode à cinq étages, du sanctuaire de Futarasan.   Le pont sacré vermillon Shinkyo.  

Nous terminons la soirée à Shibuya quartier très commercial et très fréquenté.

C’est la journée prévue pour aller au Mont Fuji mais il pleut et la météo prévoit de la pluie pour la journée : donc changement de programme et direction Kamakura capitale du Japon durant le 13ème siècle. Visite du Grand Bouddha (11 m de haut, 124 tonnes de bronze). Nous sommes rentrés à l’intérieur. Ensuite nous allons au jardin Hase Dera sous la pluie qui lui donne une ambiance particulière. Le sanctuaire shinto Tsurugaoka Hachiman-gu avec le bassin pour la purification des mains et de la bouche avant d’entrer dans le temple

Nous nous levons tôt pour aller voir un petit marché local le long de la rivière avant le petit déjeuner.  Départ en train pour Hiroshima. Le moindre lopin de terre est cultivé avec des rizières omni-présentes.Et ici du thé.Le conducteur est toujours vigilant sur l’horaire.Arrivée en début d’après-midi à Hiroshima qui est une ville touchante et émouvante. L’hypocentre de l’explosion de la bombe. Visite du Mémorial de la paix

avec son dôme qui se dresse au centre du parc et du musée retraçant l’histoire de la bombe A : les rescapés le jour de l’explosion. Les tuiles des toitures ont fondu. Monument à Sadako Sasaki petite japonaise d’Hiroshima morte d’une leucémie. Elle avait entrepris de confectionner 1000 grues en papier en espérant que son voeu de guérir soit exaucé. Elle ne put finir et depuis des écoles font des séries de 1000 grues et les envoient à Hiroshima (une fois par an elles sont brûlées devant un temple de Miyajima).  Le chateau de Hiroshima. Les officiants d’un temple shinto.Nous dînons dans un restaurant d’okonomiyaki qui est une sorte de crêpe très épaisse fourrée servie sur une plaque chauffante.

Le matin départ pour la superbe île de Miyajima. Celle-ci est considérée comme un des trois sites les plus importants aux yeux des Japonais, c’est aussi une île sacrée où il fut longtemps interdit à quiconque de naître ou de mourir. Visite du sanctuaire d’Itsukushima        Il est prolongé par le célèbre torii flottant écarlate implanté dans la baie qui est une figure emblématique du Japon.   Un renard moderne ! Inari est une divinité shintoïste censée veiller sur les récoltes (le riz en particulier) a toujours été associé au renard.Nous montons en téléphérique sur le mont Misen, point culminant de l’île (535 m).
         Des japonaises en kimonos (nous n’en sommes pas surs car beaucoup de visiteuses chinoises louent des kimonos pour se costumer en japonaises !)La pagode du temple SenjokakuNous croisons des “samouraïs” avec leur égérie !Retour à Hiroshima et départ en Shinkansen pour l’île de Kyushu en fin d’après-midi pour arriver à Kumamoto. Nous y faisons un excellent repas

Visite du château féodal du début du XVIIe, symbole de la ville et aussi un des trois plus beaux du Japon. Une tour d’angle.   Un camphrier âgé de 800 ans, d’une hauteur de 30 m.Le groupe au complet.Vues du château construit en bois (camphrier, chêne et pin). Détail de la toiture qui est toujours sophistiquée.Peintures classiques japonaises.

  Hélas 2 jours plus tard le château est touché par le tremblement de terre, mais ce n’est rien à côté des morts et des blessés.Un ninja costumé !Puis une japonaise en costume d’époque. Ils adorent être photographiés ! Un kimono coloré dans une boutique.Un cornus en fleurVisite du jardin Suizenji-jojuen de style Momoyama, créé en 1632. Unique pour sa conception, il reproduit des paysages célèbres de l’ancienne route du Tokaido comme le mont Fuji ou le lac Biwa.             Train vers Kagoshima. Une famille japonaise dans le train. Nous avons traversé sans respecter le feu rouge sous l’œil désapprobateur de nos compagnons de voyage !

1. Nous nous levons à 5 h 15 pour participer à l’office à 5 h 45. Il va durer 1 h 20 sans bouger heureusement sur un tabouret. Les croyants étaient eux assis en tailleur ! Ensuite petit déjeuner végétarien au monastère. Le jardin du monastére.  Dans la matinée, départ vers Nara.La moindre parcelle de terrain est exploitée pour planter des arbres qui sont minutieusement taillés.En cours de route arrêt pour visiter la plus vieille structure en bois au monde, la pagode à 5 étages du temple Horyu-ji.        Le pavillon des songes.     Arrivée à Nara vers la fin de l’après midi.Le temple Tofuku-ji.Sa pagode à 5 étages.
   Nous dormons dans un Ryokan auberge traditionnelle japonaise. Les chambres ont toutes des tatamis, et on dort sur un futon qui est déplié chaque soir et rangé chaque matin.

Petit déjeuner japonais dans le ryokan.Visite de Nara l’ancienne capitale du Japon, durant le 8ème siècle, et haut lieu de la culture japonaise. Le Todaiji (Daibutsu-den) qui est le plus grand édifice en bois au monde et qui abrite une impressionnante statue de bronze du Bouddha Vairocana. La porte du Sud (Nandai-mon) édifiée au 8ème reconstruite au 12ème.Le pavillon du grand Bouddha. La statue est haute de 15 m. Elle a nécessité 437 tonnes de bronze et 130 kg d’or.La lanterne octogonale   Le pavillon du lotus.   Un grenier à riz : il est construit sur pilotis pour se protéger des rongeurs. Ses parois faites de poutres horizontales à section triangulaires se dilatent ou se rétractent, selon l’hygrométrie de l’air, régulant la ventilation en fonction de la saison.     Puis promenade le long de l’allée des milles lanternes de pierre vers le Kasuga Taïsha, sanctuaire shintoïste fondé au VIIIe siècle. Un officiant. Continuation pour Kyoto avec un arrêt pour une balade à travers l’incroyable succession de Torii rouges écarlates au temple de Fujimi Inari.Il y a 30.000 torii alignés sur près de 5 km qui grimpent dans la montagne, sur chacun est gravé le nom du donateur.   La divinité Inari est toujours associée au renard. Elle est la protectrice des récoltes, le renard en pierre tient dans sa bouche la clé du grenier à riz.    Arrivée à Kyoto et début de la découverte de Kyoto la capitale culturelle et historique du Japon, riche de plus de deux mille temples, de nombreux musées et de sites classés. Salutations japonaises ! Nous commençons par le temple Kiyomizu-dera fondé en 798.   La statue de Kannon aux 11 têtes, a qui le temple est dédié, n’est exposée que tous les 33 ans ! La terrasse repose sur 139 piliers en bois.Le bassin de purification.Le jardin.  Gion.
En soirée, balade dans le quartier traditionnel des arts et des spectacles de Gion, rendu célèbre par ses Geishas. Nous n’en apercevrons que 3 pour une seule photo floue.Nous voici à Kyoto pour 5 jours complets.

Le temps est très couvert et dés le début de la visite du temple Kinkaku-ji, le fameux temple du pavillon d’Or, la pluie va tomber toute la journée peu ou prou. C’est un chef-d’œuvre d’harmonie, sa réputation n’est pas usurpée. Bien que nous y étions à l’ouverture c’est la cohue. Le pavillon est entièrement et régulièrement recouvert d’or. L’intérieur n’est pas visitable.      Temple Ryoan-ji, au pied du mont Kinugasa, dont le jardin minéral est la parfaite expression de la spiritualité du bouddhisme zen. C’est grouillant de monde ce qui est un comble pour un lieu conçu pour la méditation.  Par contre avec la pluie c’est plus calme dans le jardin. Ce petit bassin de pierre rond avec une cuve carrée a été offert au temple par un prince.            Nous devons faire la queue 45 mn pour prendre le bus du fait de l’affluence : direction le temple Ginkaku-ji (Pavillon d’argent). En fait il n’en a jamais été recouvert, son commanditaire est mort avant son achèvement. Son jardin minéral symbolise le mont Fuji dominant la mer sous les reflets de la lune.               Le pavillon d’Argent. La pluie s’est un peu calmée, nous parcourons une partie de la promenade de la philosophie.       En rentrant vers l’hôtel nous traversons le parc du palais impérial.  Pour le dernier dîner du club des 5 au Japon nous invitons Pierre-Etienne dans un restaurant pour un succulent repas de crabe.

Aujourd’hui découverte de Kyoto seuls : carte des bus et GPS sur le smartphone. La villa Shugaku-in a été construite au 17ème siècle pour la retraite de l’empereur sur un domaine de 54 ha sur les premières pentes de la montagne au nord est de Kyoto. Nous y allons en bus.                       

Nous pique-niquons en arrivant au jardin botanique ou nous passons l’après-midi.  Arundo donax  Schima valichiiLinaria maroccannaPhyllostachis pubescensMassifs moutonnants  Geranium maderense   Fuchsia

Nous reprenons la promenade de la philosophie là ou nous l’avions laissée jeudi. Nous visitons une succession de temples. La construction du temple zen Nanzen-ji a commencé au 14ème siècle, il comprend plusieurs jardins autour des bâtiments. On y pénètre par une porte gigantesque.                      Le temple Nanzen-in avec son étang en forme de dragon.        Le temple Konchi-in avec de vraies japonaises en kimono traditionnel.      

Nous traversons Kyoto d’Est en Ouest pour nous rendre à Arashiyama.C’est un quartier à la périphérie de la ville adossé à la montagne à l’endroit ou s’achève la gorge de la Katsura river.  Le quartier est réputé pour sa foret de bambous.Et le temple Tenryu-ji                   

Dernier jour à Kyoto ! Nous partons en bus pour le Sud Ouest de Kyoto pour visiter la villa Katsura. C’est une villa construite au 17ème siècle pour un frère de l’empereur. Nous avons du réserver la visite jeudi dernier au palais impérial. Son jardin est une référence pour les paysagistes du monde entier. Elle comprend plusieurs pavillons, chacun voué à une fonction.                                        Puis direction le monastère zen Saiho-ji dont l’intérêt essentiel est le jardin de mousses (100 variétés différentes) que les moines entretiennent depuis 700 ans. Nous avons du faire une demande écrite en japonais depuis la France pour avoir un permis de visite ! A l’entrée il est obligatoire de recopier un sutra sacré en japonais. Selon la rapidité des impétrants cela dure de 20 à 40 minutes !                         Un petit tour au pont de Shijo et dans Pontocho clôture notre séjour à Kyoto. Nous prenons le train pour l’aéroport du Kansai Où nous attend notre hôtel pour la dernière nuit au Japon. Nous sommes à 100 m de l’aérogare.   

Nous sommes bien arrives a Cairns en survolant la barriere de corail sur plusieurs centaines de km sous le soleil. Par contre cet après midi il a plu et la meteo annonce du mauvais temps pour demain : il nest pas certain que nous puissions faire la sortie en mer a Green Island.
Nous verrons bien.
Nous sortons du restaurant et allons nous coucher car nous sommes flapis,

Nous prenons le chemin des ecoliers en passant dans le nord de l Atherton Tableland : c est un plateau assez sec mais irrigue par endroits avec descultures de manguiers, bananiers, canne a sucre. Nous achetons des fruits et des legumes chez un fermier en bord de route. Ils sont tres bons 9papaye, ananas, tomates, avocats. Nous faisons un petit crochet vers Mareeba wetlands zone marecageuse au milieu d une zone tres seche. Il y a entre autres oiseaux de magnifiques cygnes noirs. C est nos premiers tours de roues sur une piste . resultat une pelliculle de poussiere se depose dans le campervan. Retour a Cairns pour reserver l excursion a Green Island.

Nous quittons tôt (7h) la mer de Corail pour prendre la direction de l’Ouest en plein outback. Grosse journée de route : 700 km au compteur. Le paysage s’est desséché au fur et à mesure de notre avancée. Les villages sont espacés de 100 à 150 km et tout petits. C’est la zone de l’élevage extensif : nous nous demandons ce que le bétail que nous apercevons peut bien brouter tant le peu d’herbe présente est sèche. La circulation est faible. C’est le domaine des Roadtrains : camions tractant 2 ou 3 remorques jusqu’à 53 m de long et des kangourous écrasés,  Le camping est très bien, propre et bien équipé.

Nous excursionnons dans les gorges de l’est de la chaine des Macdonnells Ranges : Emily Gap, Jessie Gap et Trephina Gorge. Toutes ont été creusées par des rivières au fil des millénaires Dans des roches contenant des oxydes de fer, elles ont donc une belle couleur rouge orangée. A la dernière qui est la plus longue nous avons fait une randonnée de 1 heure en haut de la gorge à l’aller, dans le lit de la rivière au retour. La chaleur était de retour mais supportable. Nous étions à Alice à 15 h direction la bibliothèque pour l’accès Internet.Diner au restaurant pour cause d’anniversaire !

Départ vers les West Macdonnell Range pour voir des gorges. Premier arrêt : Simpsons Gap, la rivière qui y arrive fait 50 m de large. La fin de la gorge est dans l’eau et les parois font une centaine de mètres. Ensuite Stanley Chasm La gorge est très resserrée : 5 à 6 m de large sur 60 m de haut. Nous prenons le sentier du Larapinta Trail (235 km à pied en 12 jours) sur quelques centaines de mètres pour monter au dessus de la gorge et la voir d’en haut. Puis Ellery Creek Hole gorge dans laquelle il y a un trou d’eau profond avec plage sur le côté propice à la baignade. Nous arrivons à Ormiston Gorge pour y déjeuner et ensuite faire une ballade de 3 h pour 7,5 km qui nous fait découvrir le paysage des collines d’abord puis cheminer dans la gorge pendant 2,5 km.dans une débauche d’entablements rocheux, de gros cailloux roulés, d’affleurements bien polis au cours du temps, de sable et encadrés par les falaises rouge orangées.

Nous poursuivons notre visite des gorges des West Macdonnell Ranges… Une ultime ballade de 1 heure à Ormiston puis direction Red Bank Gorge, très belle gorge étroite avec un billabong qui en occupe le fond. Ensuite Glen Elen Gorge qui est une gorge plus large perçée par la Finke River avec un plan d’eau qui l’occupe bordé de roseaux. A chaque fois les rochers de grès sont d’un rouge-orangé éclatant. La dernière de la journée était la Serpentine Gorge que nous avons moins appréciée mais c’était peut être la lassitude. Enfin retour à Alice Springs.